samedi 31 mai 2014

De Haas femme battue


De Haas et Belkacem

Dure nouvelle pour les clitoridiennes et les clitoridiens. Ils ne vont pas pouvoir « oser le clito » dans les Unions Européennes.

La liste "féministes pour une Europe débarrassée des mâles blancs" a fait un gros bide velu à 0,06 %!
6 pour dix mille : quand le féminisme est ramené à ses proportions originelles dans la gent féminine. 

Rappel sur la liste De Hass (artik du 3 mai) 

 On se souvient d’ « Oser le clito », cette campagne très osée et très nécessaire issue de la cervelle humide d’une certaine Caroline De Haas, qui fit afficher des vulves géantes baillant sur tous les vieux murs lépreux d’Ex-France. Et bien cette deuxième Caroline,

 Mais qu’ont donc toutes ces Caroline
 À gâter ce prénom délicieux,
 Comme si sur des joues corallines
 Folâtraient des poils disgracieux ? 

 cette Caroline là, membre du PS depuis 13 ans, et ex-conseillère de la cacique Belkacem, avec celle de son cabinet vient de claquer la porte du PS pour constituer toute seule le groupe "Féministes pour une Europe solidaire" , dont elle sera tête à claques de liste en Île de France.

 En nos temps gynécocrates, où les harpies gamahucheuses rêvent tout haut à l’éradication définitive de tous les mâles, concurrents actifs de la course à la langue fourrest, il ne manquait qu’un tel Parti.
Déjà, beaucoup de féministes des quatre sexes frétillent de joie devant cette possibilité qui s’offre à eux d’exprimer leurs positions de fond.

Mais, à la suite de Roselyne Cachalot et de Anne de la Verge-Longue, si la De Haas s’en prend à l’infecte domination masculine en général, elle réserve ses hargnosités aux seuls « mâles blancs ».
Sans doute, les mâles coraniques courroucés, les mâles d’Afrique fricassés, les jaunes amants de la moitié du Ciel, sont des libérateurs de talents féminins, si on les compare à ces salauds de white et de blancos, qui ont bâti au long des siècles cet Enfer nocturne où la Femme gémit sous la coupe masculine.

Que ne volent elles à tire d’ailes, ensevelir cette condition insupportable en Arabie Saoudite, en Guinée, au Soudan, etc., avec les petites filles qui courent se faire faire l’excision clitoridienne ?
 Mais la De Haas feint d’être plus sociale que raciale :

« La politique ne doit pas être l’apanage des hommes blancs techno (SIC) [1]qui gagnent 4.000 euros par mois » dit elle. 
Donc un éboueur noir qui gagne 1.327 euros par mois correspondrait à son idéal politique ?
Sauf à considérer bien sûr qu’il n’est qu’un mâle, car il n’y a pas encore d’éboueuses ! (Encore une rétrograde discrimination ! Que fait la Police ?)

 Notre Clito-rigide est aussi à l’origine de l’excision du mot “Mademoiselle” des états-civils et bientôt des dictionnaires.
« Adieu Mademoiselle ! », envolée avec les coccinelles et les papillons.
Encore une jolie chose qui s’en va, et dont j’avais offert une oraison funèbre dans FragransFeminae, en vente dans toutes les bonnes KontreKulture.

 Se fondant sur la disgrâce physique qui affecte cette aimable personne, beaucoup de physiognomonistes ont voulu expliquer cette éradication des demoiselles par un ressentiment envers la beauté, et la mise valeur de la beauté. 
Décidément le féminisme se marque d’abord, à l’image de ses adeptes, par une insigne laideur.       

Deux petits traits encore pour épuiser la sujette.
 1. Miss De Haas au cabinet d’aisance Belkacem était chargée de la formation idéologiques des autres ministres à la théorie du genre.
 2. Son culte du clitoris semble n’être qu’un avatar de son envie du pénal, puisqu’elle réclame à cor et a cris de nouvelles mesures répressives sur le harcèlement sexuel (sous entendu de H vers F bien sûr !
Les hommes étant agresseurs par essence, les méchants qu’il importe de castrer. « Que l’homme craigne la femme qui hait : car l’homme, au fond du cœur, est méchant, mais la femme est mauvaise ». C'est pas moi qui le dit.

 note [1]
Techno ? Le nouveau nom pour goy ?

lundi 5 mai 2014

à ma rouquine

L’excision du mot “Mademoiselle” des états-civils et bientôt des dictionnaires, doit être mis en rapport avec l'insigne laideur, et sa volonté d'enlaidissement de tout, de la lèpre féministe.
Encore une jolie chose qui s'en va, parmi tant d'autres !
Il n'y a plus de papillons, plus de libellules, plus de coccinelles, non plus que de gentils coquelicots mesdames.  Comment resterait il des damoiselles ?

Il n'y a presque plus de loups, mais beaucoup de chiens, chiant partout, chiant sans cesse. 
Il n'y a plus de papillons, plus de libellules, mais les blattes les remplacent très heureusement.
Il n'y a plus d'abeilles dans le monde où Monsanto fait son miel;  mais on trouve profusion de tiques et de moustiques.

Quant aux derniers Tigres qui respirent encore, ils sont en cage.

"TIGER, tiger, burning bright
In the forests of the night,
What immortal hand or eye
Could frame thy fearful symmetry?"


Et sous la voûte céleste les étoiles s'éclipsent, cédant très respectueusement la place aux satellites des télécoms.  Afin que retentisse dans la nuit brune le chant monotone du String et du Bistre : "téhou ! téhou !"
Parce qu'il n'y a plus, non plus, vois tu, de hiboux dans les houx. D'ailleurs les houx, le houx-frelon, le petit houx, sont morts sous la houe.

Il n'y a presque plus non plus de rousses.
J'avais lu dans le National Géographic ceci, qui est triste et gris :   " Les roux deviennent de plus en plus rares et pourraient totalement disparaître d’ici 100 ans, selon les généticiens.
Selon le dernier numéro du magazine National Geographic, moins de 2% de la population mondiale est rousse (de naissance). Il s’agirait d’une mutation datant de milliers d’années dans la zone nordique de l’Europe. Les scientifiques indiquent que, si les roux veulent survivre, ils devraient se déplacer en Ecosse pour augmenter leur probabilité de reproduction.
Environ 40% des Ecossais portent le gène roux et 13% ont réellement les cheveux roux."

Aujourd’hui, les "belles" sont plutôt, d'une manière générale "trempées dans l'encre", telles des belles qu'à Sem. 

                                                                 


    Le monde qu'il fallait pour que tu parusses, ma rousse, celui qui t'allait si bien, s'en va. Pourquoi ta forme resterait-elle ?
Méfie toi, pars en Écosse, parmi les tiens, si tu ne veux pas finir encagée comme le Tigre.
Car certains prédateurs à gourmettes, bronzés par quarante-cinq générations, savent les suaves beautés secrètes. C'est un secret de nos jours mal gardé, le rose délicat du tétin, comme la fente vermeille sous l'or flamboyant d'une incroyable mousse.
Ils savent, ils bavent .
J'entends déjà, si près de toi, ma rousse au pré fleuri, "leurs ruts de béhemots dans leur maelström" pornocratique.
Dejà ils préservent de pseudo-rousses d'élevage, dans leurs viviers, ces gorets qui ne se mangent pas les uns les autres, pour leur consommation exclusive, et vous laissent reluquer leurs rogatons aux rubriques redhead.  

Mais que m'importe à moi, qui ai connu, enflammant ma vie, la vraie rousse en fleur, son cœur libre et sauvage.