Partir ailleurs Sénégalais,
Vous aussi chers Algériens ;
Oui tous, d'Afrique fricassés
De nos allocs : on a plus rien !
Adieu monotones Prognathes
À poil laineux, un poil haineux;
Allez vous faire tresser des nattes
Dans vos sérails pharamineux.
Et n'oubliez pas nos femelles,
Qui vous aimaient tant, les chéries !
On en cueillera de nouvelles
Bien plus belles, et plus égéries :
Et notre vie sera plus dense
De par la science et l' élégance !
3 commentaires:
Oh, oh, oh !
"Nous" prenons définitivement nos distances, et de façon affirmée, avec le non-sens réconciliatoire...enfin!
Suffisantes et arrogantes riment avec vieilles plantes..desormais la cueillette sera de champignons!
Dominique.
Enregistrer un commentaire